sábado, 9 de abril de 2011

Chiapas: Palenque, jungle, San Cristobal de las Casas et Chamula


     Le Chiapas...L'etat le plus pauvre du Mexique est certainement l'un des plus beaux. Les paysages arides de la region de Mexico ont laisses place a une vegetation exuberante, veritable ocean vert (meme si ce n'est pas encore tout a fait l'Amazonie). J'ai pris conges pres de la reserve de Palenque a El Panchan. Au programme far niente dans une cabane de bambou en pleine jungle et plaisir innocent a ecouter la symphonie de la nature une foi la nuit tombee... Le pied total, certainement l'etape la plus heureuse de ce voyage (du moins jusqu'a present...). J'ai rencontre une autre amoureuse de la nature, une Finlandaise avec qui les longues discussions furent tres enrichissantes... Le site archeologique de Palenque est fidele ason environnement: paisible, peu frequente et surtout VERT !


 ¡ Palenque cabrones !

                                                        
 ¡ Palenque cabrones !

Mes pieds

                                             
Ma maison de bambou

     L'endroit est magique, mais la soif de voyage et de decouverte l'emporte... Je reprends donc ma route toujours plus au sud, destination San Cristobal de las Casas, la ville de la revolution zapatiste des annees 1990/1991. Quel changemant ! Bon, normal c'est une ville, avec tout ce qui compose la ville : du monde, du bruit, du cracra et surtout une population indigene qui porte la misere sur elle...




     Je profite de l'occasion pour me rendre a San Juan de Chamula, un petit village situe a 10 kms de San Cristobal, dont l'attrait principal est son eglise qui abrite des pratiques ancestrales mayas, metissees a un catholicisme bien ancre. Le resultat est fascinant, et je ne saurait dire si j'ai penetre dans cette eglise ou si c'est le contraire qui s'est produit... Quelle atmosphere ! De la paille sur le sol, de l'encent en veux tu en voila, une fanfare de cuivre cacophonique en guise de sonorite, des indigenes qui entrent dans une  transe indescriptible, des sacrifice de poulets, et surtout une cure expresse au coca cola... Logique en effet, le rot genere par le gaz du coca ne serait ni plus ni moins, que le mal qui sortirait du corps infecte... Hallucinant !

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