sábado, 25 de junio de 2011

El Cusco

     Cusco, ville aux dominantes blanches et marons, tes murs aux pierres colossales, heritages d'un geni inca defait.


Cusco, tes nuits glaciales...
Cusco, je ne veux pas de tes massages ni de tes peintures...
Cusco, ton melange de legende et de triste realite...
Cusco, ces avions qui flirtent avec les sommets montagneux vers ton aeroport...
Cusco, ce condor bienveillant qui t'encercle...
Cusco, ta force, ton esprit, ta quietude...
Cusco, les Incas ne sont jamais tres loins...
Cusco, ton pisco sour...
Cusco, ta jungle de details fascinants...
Cusco, ta viande d'alpaca et de cochon d'Inde...
Cusco, ta pierre a douzes angles...
Cusco, ce policier qui me coure apres...
Cusco, cette Americaine qui croisa ma route...
Cusco, tes charangos et tes bandurias...
Cusco, cette grand mere qui me sert chaque matin un dejeuner digne des rois...
Cusco, tes soirees de folies...
Cusco, ton addiction...
Cusco, tes cathedrales qui affichent chacune une heure differente...
Cusco, ce kebab marocain inatendu...
Cusco, ces amis de tout horizons...

Cusco, je t'aime...

     Cusco, perchee a plus de 3400 metres d'altitude tu es avarde en oxygene, te visiter demande energie et courage...

     El CoCo prefere se reserver le droit de conter l'episode Cusco de vive voix...

Pucallpa, Lima, AREQUIPA...

     Un "ferry" asure la connection entre Iquitos et Pucallpa... Que dire a propos de ces 5 jours de traversee ? Longs, pesants, etouffants parfois... Imaginez vous une foret de hamacs reparties sur trois ponts, une promiscuite perpetuelle et pour couronner le tout, une confrerie evangeliste totalitaire qui ne cesse de vous repeter que si vous ne croyez pas en Dieu les flammes de l'enfer se chargeront de vous remettre dans le "droit chemin"...
   
     Bref, une viree dont le maitre mot serait "LONG"...

     Pucallpa quant a elle n'a aucun charme, ce n'est qu'un enchevetrement de rue ponctuees de bidonvilles, ou s'accumulent boutiques en tout genres... Nous ne passerons que 3 jours ici avant de reprendre la route pour nous rendre a Lima, puis Arequipa.

     "Arequipa, Arequipa, Arequipa", le racoleur de la compagnie brail le depart de notre bus... C'est l'heure pour nous de quitter Lima (enfin). Nous sommes arrives ce matin et nous reprenons la route en fin de journee. 18 heures de bus a la carte... 18 heures ponctuees de films de Jacky Chan (comme toujours dans les bus sudamericains ), et de paysages hallucinants de beaute entre montagnes vertes et desolation lunaire...

     Arequipa est la deuxieme ville du pays, nichee a plus de 2600 metres entre le volcan "Misti", sorte de Mont Fuji version peruvienne, et deux chaines de montagnes qui laissent aparaitres les neiges eternelles.
     Arequipa, ville agreable, tranquile et sereine, tout l'oppose de sa grande soeur Lima, la surpeuplee, sale et triste... "Lima l'horrible" comme on la surnome ici, tout est dit...

     Maria a decidee de poursuivre sa route sans nous, elle veut postuler pour du volontaria dans les montagnes environnantes. Nous prenons donc conge Liam et moi-meme au "Home Sweet Home", une auberge de routards ma fois tres agreable ou nous avons rencontre que du beau monde. Lindsay et Nathalia, deux gringas decallees, Mauricio un Chilien don Juan et Lukas, un Canadien de Vancouver...
     De deux, nous voila membres de toute une petite bande de joyeux lurons jamais a court de bonne humeur. Bref, une semaine geniale.. Fini la course, Liam et moi avons decides de nous poser un peu et de souffler. Cote visite, nous avons profite d'une belle journee ensoleillee pour explorer les montagnes alentours, ou nous avons trouve ce que nous cherchions : isolement calme et emerveillement.
     La ville regorge de marches ou decouvertes et etonnements sont au rendez-vous... Je marchais dans l'une des nombreuses allees consacrees a la boucherie et charcuterie, lorsque mes yeux se poserent sur de mysterieuses boules de viandes aux veines violettes... "Que es eso" demandais-je a la mama en charge du stand, tout intrigue que j'etais... "Esos son testiculos de tauros" (ce sont des couilles de taureaux)... Fort bien señora je ne pense pas en acheter, mais merci pour l'info...

    Au total, une semaine de bonheur dans Arequipa avec ses montagnes, sa bonne humeur et ses couilles de taureaux...

    La route m'appelle a nouveau, prochaine etape : le nombrille du monde inca : Cusco

jueves, 5 de mayo de 2011

Iquitos

     Apres trois jours de traversee sur l'Amazone, nous voici rendu a Iquitos, ville de  300 000 habitants isolee du reste du monde, perdue au milieu de la jungle. Nous logeons au "Mad Mick Hotel", une auberge geree par un Anglais qui s'est dit un beau jour "fuck all that shit, I'm gona live in the jungle".
En entrant dans l'auberge, nous pouvons remarquer une immense photo soigneusement encadree du bonhomme titillant un anaconda d'au moins 5 bons metres.

     Iquitos est sympa, tranquile, mais les harcellements continuels des vendeurs nous poussent a privilegier la peripherie. Nous avons donc visite une ferme de papillons perdue en pleine jungle, nous y avons vu des specimens absoluments magnifiques aux couleurs etonnantes. Nous avons egalement visite un centre de rehabilitation d'animaux orphelins (tristes victimes d'un bracconage encore actif malheureusement) a la vie sauvage. Au programme jaguars (so beautiful) singes, caimans... Au passage, la viande de caimans est des plus delicieuse... J'ai honte, mais force d'avouer que la curiosite m'a poussee a gouter ce mait marginal. C'est une viande blanche, tres proche du poulet tant sur l'aspect que sur le gout, mais c'est bien la digestion qui nous rappel que ce n'est pas du poulet... C'est ultra lourd...

     Bref une semaine tranquille en somme, nous reprendrons la route pour descendre toujours plus au sud vers Pucallpa tout d'abord puis vers Arequipa dans les montagnes andines...

Voyage sur l'Amazone entre Leticia et Iquitos

El Coco les pieds dans l'eau

  "Disculpa señor, cuanto cuesta para ir hasta Iquitos y cuanto tiempo para llegar haya ?"

     La reponse ne s'est pas faite attendre... Deux jours, trois nuits, le tout pour 20 euros, c'est le "lourd" tribut a payer pour naviguer sur l'Amazone depuis Leticia jusqu a Iquitos au Perou... OK vamonos cabrones c'est tipar pour le fleuve, je suis bien equipe j'ai achete un hamac 7 euros et je ne peux retenir le sourir que dessinent continuellement mes petites levres... Nous embarquons tels trois routards insouciants et nihilistes : Maria, Liam et moi meme. Arrive a bord, on nous indique un espace pour installer nos hamacs. Dix minutes plus tard, je savoure le paysage crepusculaire qui s'offre a moi, en compagnie de mon fidel "les veines ouvertes d'Amerique Latine" du genial Eduardo Galeano, cet Uruguayen philanthrope, qui redigea la courte et douloureuse Histoire de ce jeune continent, au debut des annees 1970.

      Putain quelle ne fut pas ma surprise en decouvrant que pour 20 euros on parcours 500 kms d'Amazone et qu'en plus, les trois repas quotidiens sont inclus dans le prix. Tengo todo para ser feliz, je ne cesse de me le repeter...

      Les journees sont d'un calme reposant, bien que dormir dans un hamac est loin d'etre agreable, c'est bien mieux de l'utiliser pour la sieste car la nuit les vents froid de l'Amazonie me glacent le dos; Qu'importe, comme je l'ai dis : tengo todo para ser feliz...

Un apres midi sur le fleuve


 
La traversee est ponctuee de quelques haltes dans les villages riverains du feuve, le bateau assure en effet le ravitaillement de ces populations isolees...

      La promiscuite avec les passagers rend le voyage tres instructif, on guete leurs habitudes, on s'habitue peu a peu a la gamine qui ne cesse de pleurer y compris pendant la nuit, que meme la mere est incapable de consoler... Je me demande ce que certaines personnes vont chercher a Iquitos, eux qui n'ont comme bagages que deux poules et un demie douzaine de poissons...

Bon... il a l'aire sympa comme ca mais je vous assure qu'il etait hyper lourd, il ne s'avait ni jouer ni chanter mais ne s'arretait jamais c'etait horrible...


 
Le pont

     La nuit n'est pas avarde en surprises et je prends un plaisir certain a contempler ce ciel nocturne d'une purete inedite pour moi, pas ici de polution, encore moins de lumieres, ce qui devergonde ces milliers d'etoiles, qui en France semblent nous bouder... Quelle beaute on peut clairement distinguer la voie lactee, ce ciel surealiste, me rappel que le bonheur est bien souvent gratuit et a la portee de tous, meme les plus humbles...

Le crepuscule sur le fleuve

     Bon je recommence a me la jouer litteraire, toutes mes excuses.... Promis, je prendrais un ton plus terre a terre lorsque je vous conterai l'histoire de El Coco qui retourne sur ce fleuve pour rejoindre Pucallpa...

     Hasta luego muchachos je vous aime.

 
     El Coco

Leticia, mon amour

     3 jours et trois nuits de bus et deux avions plus tard, me voila au beau milieu de la moiteur tropicale en plein ocean vert: l'Amazonie... Je partage desormais la route avec Maria, une Suedoise tout juste debarquee de Thailande. Nous nous sommes rencontre dans l'aeroport de Bogota et elle comme moi, allions vers Leticia pour ensuite rejoindre le Perou. Un bref regard au travers du hublot de l'avion, et on comprend tout de suite pourquoi l'Amazonie est surnommee "l'ocean vert". On peu aisement distinguer le fleuve Amazone qui serpente au travers de ce vert infini , tel un gros cable maron. Bon j'arrete de me la jouer litteraire et je poursuit le recit... Arrivee a Leticia, nous nous rendons au kilometre 11 (a 11 kms de Leticia), ou nous louons une cabane de bambou (encore...) pour y passer la nuit. Le pied total, nous sommes au beau milieu de la jungle, seule la route nous rappel la civilisation et en face de cette route, quelque barraquements constituent la communaute indigene du kilometre 11... Nous sommes deux a payer la location, mais en realite environ 500 a la partager. Des puces, des puces et encores des puces, se delectent de nos pauvres jambes, alors que les moustiques s'occupent de nos bras et nos nuques. Demain ce sera le 48eme anniversaire de la communaute et nous ne voulons rater cet evenement pour rien au monde.


Maria


   La petite maison dans la jungle (tintintintin, tin-tin-tin...)


                 Notre cuisine yearrrrr (j'ai jamais autant aime cuisiner et meme faire la vaiselle...)

     Le lendemain, apres une breve balade dans Leticia ou j'ai acheter mon hamac pour la futur traversee du fleuve vers Iquitos au Perou, nous nous rendons a la "rumba indigena del kilometro once" pour communier avec ces hommes et ces femmes d'une simplicite et d'une gentillesse exemplaire. L'essentiel des festivites se deroule sur le terrain de foot au milieu de la communaute, les muchachos pratiquent un football des plus brouillon en mode chacun pour soit, et je me joint a eux histoire de leur montrer qu'en Fance on sait jouer... Pieds nus sur du betons, je ne tarde pas a m'ecorcher un doigt mais qu'importe, je suis heureux comme un fou et les gamins s'amusent de ma presence, me touchent les cheveux (mais enfin pourquoi ???), nous allons ensuite dans la hute principale (l'eglise du village en realite), ou ces hommes et ces femmes pratiquent des chants ancestraux qui imposent le respect et la contemplation, il y a aussi des concours de danse, des matchs de foot feminin (a couper le souffle sans deconner ces filles la c'est des vraies jaguars)... Apres avoir epuiser le stock de bierres et de cigarettes dont nous disposions, nous decidons de rentrer nous coucher car demain sera un autre jour, et le programme est des plus allechant : viree en lancha sur le fleuve a la recherche des dauphins roses d'Amazonie (sisi parafaitement). Bon je vous previens de suite ces bestioles ont beau etres volumineuses, elles sont vives et j'ai pas reussi a les photographier...

                                                    Notre grande gagnante du soir...



                                                          Brrrrr j'en fremis encore...



                                                  La "rue du Gros", version Leticia



Ptite clope ?

miércoles, 20 de abril de 2011

Flores et Tikal

     Apres 12 heures de chicken bus au depart de Quetzaltenango, me voila arrive a la petite ville de Flores dans la nord du pays. Flores est un petit village situe sur une ile  au beau milieu du lac de Flores d'ou le nom... Paisible, bien que touristique, Flores est a une heure de Tikal, la plus haute pyramide Maya connue a ce jour. Je profite donc de l'occasion pour m'y rendre, avant de reprendre la route vers la capitale Guatemala city.

Le site de Tikal


                                                           
     Bon je vais pas vous le cacher, Guatemala City fut horrible pour moi... La poisse me poursuivait, et le moral etait a plus bas. A cause d'une sombre histoire de visa, je ne pouvais quitter le pays, et je devais camper sur mes reserves pour ne pas exploser mon budget... Je louais donc 4 jours durant une chambre miteuse a souhait dans la zone 12 de la capitale (l'une des pires du la ville) a deux pas de l'aeroport et ou les flics sont plus nombreux que les locaux... J'ai pas mal jeune je me suis pas mal prive et franchement j'ai hesite a metre un terme a mon voyage... Mais j'ai trouve les ressources necessaires pour aller de l'avant et passe ces 4 jours maudits, je pouvais enfin reprendre la route vers le sud, vers le Panama pour ensuite rejoindre la Colombie et penetrer definitivement en Amerique du Sud.

sábado, 9 de abril de 2011

Direction le Guatemala...

     Guatemala... Que dire ? Similaire au Mexique, avec une population des plus ouverte et amicale... C'est vert, c'est maya, c'est le Guatemala... Apres une triste nuit passee dans un poste frontiere franchement miteux, je passe au Guatemala, ma premiere etape fut Panajachel au bord du lac Atitlan, l'un des plus beaux au monde dit on. Je pense que c'est vrai; C'est un lac de montagne cerne par trois volcans (nice non ?). Panajachel est une petite station balneaire touristique certe, mais franchement agreable. J'y ai rencontre une petite bande de chicos guatemalteques qui me faisaient penser a certains amis Bretons d'Auray, avec un rythme des plus pepere a savoir fumette, baignade, viree en lancha sur le lac... La belle vie quoi...

Le crepuscule sur le lac Atitlan



Le lac Atitlan



    Je profite du jeudi pour me rendre au marche de Chichicastenango a 1h de Panajachel. Tres riche en couleur et en odeurs, ce marche rassemble toute la paysannerie alentour et il est franchement difficil de se frayer un chemin a travers les etroites allees qui la composent.

Gymnase reamenage en marche

 Mama indiegene avec son bebe                             Respect !




                      



Chiapas: Palenque, jungle, San Cristobal de las Casas et Chamula


     Le Chiapas...L'etat le plus pauvre du Mexique est certainement l'un des plus beaux. Les paysages arides de la region de Mexico ont laisses place a une vegetation exuberante, veritable ocean vert (meme si ce n'est pas encore tout a fait l'Amazonie). J'ai pris conges pres de la reserve de Palenque a El Panchan. Au programme far niente dans une cabane de bambou en pleine jungle et plaisir innocent a ecouter la symphonie de la nature une foi la nuit tombee... Le pied total, certainement l'etape la plus heureuse de ce voyage (du moins jusqu'a present...). J'ai rencontre une autre amoureuse de la nature, une Finlandaise avec qui les longues discussions furent tres enrichissantes... Le site archeologique de Palenque est fidele ason environnement: paisible, peu frequente et surtout VERT !


 ¡ Palenque cabrones !

                                                        
 ¡ Palenque cabrones !

Mes pieds

                                             
Ma maison de bambou

     L'endroit est magique, mais la soif de voyage et de decouverte l'emporte... Je reprends donc ma route toujours plus au sud, destination San Cristobal de las Casas, la ville de la revolution zapatiste des annees 1990/1991. Quel changemant ! Bon, normal c'est une ville, avec tout ce qui compose la ville : du monde, du bruit, du cracra et surtout une population indigene qui porte la misere sur elle...




     Je profite de l'occasion pour me rendre a San Juan de Chamula, un petit village situe a 10 kms de San Cristobal, dont l'attrait principal est son eglise qui abrite des pratiques ancestrales mayas, metissees a un catholicisme bien ancre. Le resultat est fascinant, et je ne saurait dire si j'ai penetre dans cette eglise ou si c'est le contraire qui s'est produit... Quelle atmosphere ! De la paille sur le sol, de l'encent en veux tu en voila, une fanfare de cuivre cacophonique en guise de sonorite, des indigenes qui entrent dans une  transe indescriptible, des sacrifice de poulets, et surtout une cure expresse au coca cola... Logique en effet, le rot genere par le gaz du coca ne serait ni plus ni moins, que le mal qui sortirait du corps infecte... Hallucinant !

"Un buen viaje es como un buen libro : se empesa con angustia y se termina con nostalgia..."

     Fin mars, je reprends la route cette foi avec pour uniques compagnons, mon sac Quechua Forclaz 60 litres et Mr Rootsy... Depart Mexico, destination Merida dans le Yucatan, en terre maya... Quel changement... Je passe de 25 degres a 38 en l'espace de 18 heures de bus !!!
Merida constitue le Q.G parfait, pour visiter les principaux sites alentours dont la cite d'Uxmal, et ses deux pyramides, son palais royal et son jeu de balle impressionnant. Il y a egalement la magestueuse Chichen Itza, chef d'oeuvre de l'architecture maya, dans un etat  de conservation miraculeux...


La pyramide de Chichen Itza



La pyramide de Chichen Itza


    
La pyramide d' Uxmal


     Je reprend ensuite ma route pour me rendre a Tulum, sur la cote caribeenne yearrrrr ! Etape super agreable (quoi de plus normal), j'y ai rencontre que de bonnes personnes dont Georgio, un Argentin dejante, Mauricio, un hippie Italien qui ne connait pas la mauvaise humeur, un couple d'Italiens qui venaient de Buenos Aires, et une Bretonne : Clemence. Tulum est un petit pueblito en bord de mer a l'ambiance legere et agreable. En peripherie de la ville on trouve une ancienne forteresse maya cernee de palmiers, qui s'eleve au sommet d'une falaise, en faisant face a une mer aux eaux turquoises dignes d'un "club med of paradise"...

La plage de Tulum


        El Coco, Clemence et Mauricio

¡ Que viva Mexico cabrones !

     Arrive le 1er mars dans la capitale tentaculaire de 22 millions d'habitants, j'y ai retrouve Edith Rivera, une amie de Modelos Yasiro. Sejours dans la casa familiar avec Papa Moy, Miriam, Mary Lou, Ulyssa, Beto et mon deuxieme frero : Luizito...

Le centre de Mexico


Ma deuxieme famille de haut en bas : Beto, Miriam, Luizito, Edith, Ulyssa, Mary Lou et le meilleur pour la fin : Papa Moy


     Je reprends mon sac deux jours plus tard, direction Puebla, Veracruz et son carnaval haut en couleurs.


! El carnaval de Veracruz Cabrones ¡

    
     Ensuite, retour aux fondamentaux via Tepeji ou j'ai retrouve mes amis de 2006 : Juan Pablo, Jair, Luiz, Beto, Angelica, Eric, et bien d'autres...
De bons moments bien arroses (siempre con medida) s'en suivirent, sans oublier toutefois de poursuivre la visite de ce merveilleux pays via Queretaro, (la ville ou a commence la Revolution mexicaine de 1810), Pachuca et ses mines d'argents, Real del Monte et son pantheon de mineurs anglais, Tula et ses surprenantes statues atlantes, Teotihuacan et ses pyramides a couper le souffle, Le musee d'antrhopologie de Mexico, synthese de la riche Histoire nationale, ou encore la "Casa Azul" de Frida Khalo...


La pyramide du Soleil a Teotihuacan



Un Atlante de Tula                                                                 Statue mortuaire Maya